(Commodesk) D’abord retardée par les pluies, la récolte sucrière brésilienne ne subit plus de délais dus à la grève des receveurs des recettes fiscales des ports, un service menacé de disparition.

Bien que les services des taxes douanières aient déposé vendredi un préavis de grève de quatre jours à Santos, l’un des principaux points de chargement du sucre brésilien destiné à l’exportation, il n’a pas d’effet sur les cargaisons sucrières.

D’après le consultant SA Commodities, le dédouanement à l'importation ou l'exportation et les opérations de transit sont revenus à la normale ce lundi à Santos, Vitoria et Paranagua, et l’arrivée de nouveaux navires venant charger du sucre n’est plus perturbée.

Actuellement, d’après l’agence maritime Unimar, 6.000 tonnes de sucre sont en cours de chargement à Vitoria, pour le négociant singapourien Olam.