La startup basée à Londres a déclaré dans un communiqué que cette décision était due à une décision inattendue de son fournisseur de services de change et de la banque de ce dernier, Barclays, de limiter ses volumes d'échanges. Un pic quotidien inhabituel dans les volumes d'activité avait déclenché la limite, selon une source familière avec la question.

Freetrade permettra aux utilisateurs de vendre des actions américaines pour sortir des positions existantes, selon le communiqué.

"Nous n'avons reçu aucun avertissement de ce que nous considérons comme une décision extrêmement mauvaise", a-t-il ajouté. "Nous sommes profondément mécontents de cette décision et nous faisons tout notre possible pour rectifier la situation."

La société est la dernière plate-forme de négociation à signaler des perturbations de son service, après une augmentation des volumes découlant d'appels sur les médias sociaux pour négocier des actions comme GameStop et AMC qui étaient fortement vendues à découvert par des fonds spéculatifs.

Des plateformes, dont la société américaine Robinhood, ont interrompu les achats des actions les plus volatiles, soulevant l'ire des clients.

Lancé en 2018, Freetrade a vu les nouveaux utilisateurs bondir au cours de la semaine dernière, les inscriptions quotidiennes de clients passant de 3 000 par jour jeudi à 30 000, selon un porte-parole.

Il a également traité des montants record de volume de transactions, a-t-il dit, dépassant de loin "la journée du vaccin" en novembre, a-t-il ajouté.