"Les discussions que j'ai eues avec les deux dirigeants ont montré qu'ils étaient prêts à recevoir les dirigeants africains et à discuter des moyens de mettre fin à ce conflit", a déclaré M. Ramaphosa lors d'une conférence de presse conjointe avec le Premier ministre de Singapour.

"La réussite ou l'échec de cette démarche dépendra des discussions qui auront lieu", a-t-il ajouté.

M. Ramaphosa a indiqué que le plan de paix était également soutenu par les dirigeants du Sénégal, de l'Ouganda et de l'Égypte, ajoutant que le secrétaire général des Nations unies, les États-Unis et la Grande-Bretagne avaient également été informés de l'initiative.

Washington et Londres ont exprimé un soutien "prudent" au plan de paix, a ajouté M. Ramaphosa.