Le ministère français a ajouté qu'il avait demandé aux autorités israéliennes de fournir "sans délai" les raisons "tangibles" qui ont motivé la frappe sur l'institut.

Dans un communiqué séparé, le ministère a également exprimé sa "très forte préoccupation" quant au nombre de victimes civiles à Gaza.

L'AFP a indiqué sur le réseau social X que son bureau dans la bande de Gaza avait été bombardé par l'armée israélienne et sérieusement endommagé jeudi par une frappe.

Aucun des huit membres du personnel de l'AFP ou employés permanents normalement basés à Gaza ne se trouvait sur place au moment de l'impact. Tous ont été évacués vers le sud de la bande de Gaza le 13 octobre, ajoute le communiqué.

"L'AFP condamne avec la plus grande fermeté cette attaque contre son bureau dans la ville de Gaza.