Wizz Air Holdings Plc a annoncé ses résultats financiers et opérationnels consolidés audités pour l'exercice clos le 31 mars 2018. Pour l'année, la compagnie a déclaré un chiffre d'affaires total de 1 948,0 millions d'euros contre 1 571,2 millions d'euros pour la même période il y a un an. Le bénéfice d'exploitation s'est élevé à 291,8 millions d'euros contre 246,7 millions d'euros pour la même période il y a un an. Le bénéfice avant impôt sur le revenu s'est élevé à 286,1 millions d'euros, contre 255,8 millions d'euros pour la même période de l'année précédente. Le bénéfice de l'exercice s'est élevé à 275,1 millions d'euros, contre 246,0 millions d'euros pour la même période de l'année précédente. Le bénéfice dilué par action s'élève à 2,18 euros par action, contre 1,95 euro par action pour la même période de l'année précédente. La trésorerie nette générée par les activités opérationnelles s'est élevée à 416,9 millions d'euros, contre 310,9 millions d'euros pour la même période de l'année précédente. Les acquisitions d'immobilisations corporelles et incorporelles se sont élevées à 25,6 millions d'euros, contre 38,1 millions d'euros pour la même période de l'année précédente. Pour l'année, les RPK (passagers-kilomètres payants) se sont élevés à 47 209 679 000, contre 37 627 831 000 l'année précédente. Le coefficient d'occupation était de 91,3 %, contre 90,1 % l'année précédente. Le nombre total d'ASK s'est élevé à 51 536 986 000, contre 41 690 967 000 l'année précédente, et le nombre de segments de passagers à 29 632 357, contre 23 764 385 l'année précédente. La société a enregistré un bon début d'exercice 2019 avec des prévisions de RASK globalement stables au premier trimestre en glissement annuel, une bonne performance compte tenu de l'absence de trafic de Pâques qui est tombé dans le dernier exercice, et bien qu'encore à un stade précoce de l'exercice, le bénéfice net du groupe devrait se situer dans une fourchette comprise entre 310 millions et 340 millions d'euros pour l'exercice 2019. L'entreprise prévoit une croissance de la capacité (ASK) de 20 %, une augmentation du coefficient de remplissage de 1 %, une augmentation de la RASK de 3 % et un taux d'imposition de 6 %.