Le consensus des analystes financiers était à 493 millions.

L'Italie a contribué à hauteur d'environ 600 millions d'euros, alors que le marché d'Europe centrale et orientale - étroitement surveillés par les analystes dans un contexte de tensions géopolitiques dans la région - a été de 400 millions.

L'administrateur délégué d'UniCredit Federico Ghizzoni précise dans un communiqué qu'après ces résultats trimestriels, la banque est proche de son objectif de bénéfice net de deux milliards d'euros pour l'ensemble de l'année.

Le ratio de fonds propres (tier 1) de la banque était à 10,4% fin septembre, inchangé par rapport à celui de fin juin.

Tout comme sa concurrente Intesa Sanpaolo, UniCredit a annoncé une baisse de ses provisions pour créances douteuses, avec des provisions pour pertes sur crédit à 754 millions sur le trimestre, en repli de 50% sur la même période de 2013.

(Silvia Aloisi, Juliette Rouillon pour le service français, édité par Patrick Vignal)