Séché Environnement a fait état après la clôture d'un bénéfice net part du groupe de 8,7 millions d'euros en 2013, contre une perte de 82,4 millions à l'issue du précédent exercice. Le résultat opérationnel courant est, lui, ressorti à 32,7 millions d'euros, en recul de 12,3% en variation brute. Le chiffre d'affaires consolidé s'est de son côté établi à 469,1 millions d'euros, en hausse de 7,3% en organique. Séché Environnement a par ailleurs annoncé le versement d'un dividende à 0,95 euro par action, stable par rapport à 2012.
"Les fondamentaux de Séché Environnement restent solides et bien orientés. La croissance de l'exercice a été soutenue en dépit de l'environnement macroéconomique et la rentabilité opérationnelle a amorcé son redressement dès le second semestre de l'exercice. La situation financière du Groupe reste très saine avec des ratios bilanciels inchangés alors que nous avons investi de manière soutenue au sein de nos principales DSP", s'est réjoui Joël Séché, PDG du groupe spécialisé dans la valorisation et le traitement des déchets, notamment des déchets industriels dangereux.
"En 2014, au sein d'un environnement économique morose, et dans un contexte où la production industrielle reste peu dynamique notamment en France où le Groupe réalise plus de 95% de son chiffre d'affaires, Séché Environnement s'appuiera sur la solidité de son activité récurrente auprès de ses clientèles d'industriels et de collectivités et privilégiera la montée en rentabilité de ses outils", a indiqué le groupe en guise de perspectives.
Séché Environnement SA figure parmi les principaux acteurs français de la valorisation et du traitement de tous les types de déchets, qu'ils soient d'origine industrielle ou issus des collectivités territoriales. Premier opérateur indépendant en France, Séché Environnement SA s'affirme comme le spécialiste des déchets techniques. Ses outils et ses savoir-faire lui permettent d'offrir à sa clientèle d'industriels et de collectivités, des solutions à haute valeur ajoutée, ciblant les problématiques de l'économie circulaire et les exigences de développement durable, telles que :
- les valorisations matières ou énergétique des déchets dangereux et non dangereux ;
- tous types de traitement pour les déchets solides, liquides, gazeux ;
- le stockage des résidus ultimes de déchets dangereux ou non dangereux ;
- les éco-services de dépollution, de déconstruction, de désamiantage et de réhabilitation.