Roquefort Therapeutics PLC - société de biotechnologie basée à Londres et spécialisée dans le développement de médicaments pour les cancers difficiles à traiter - déclare que les études in vitro récemment achevées pour une nouvelle thérapie à base d'acide ribonucléique messager montrent une "réduction statistiquement significative" de la prolifération et de la migration des cancers du sein et du foie. L'étude s'inscrit dans le cadre de la nouvelle plateforme thérapeutique ARNm anticancéreuse de Roquefort, axée sur la cible de croissance Midkine. Le programme MDK mRNA a été testé dans des modèles de cancer in vitro validés afin d'évaluer l'effet sur la croissance et la migration. Roquefort reconnaît qu'il s'agit de résultats préliminaires, mais affirme que la thérapie a le potentiel de devenir un traitement anticancéreux de premier ordre si elle est reproduite dans des essais cliniques. La société a récemment mis à jour les brevets qu'elle avait déposés pour protéger les compositions et les méthodes du programme MDK mRNA. Le programme va maintenant passer aux études in vivo.

Ajan Reginald, directeur général, déclare : "L'ARNm est le domaine le plus attractif de la biotechnologie et, dans ce domaine très innovant, nous développons une niche unique pour Midkine... Ces expériences ont été réalisées en temps utile et dans le respect du budget et constituent un élément essentiel de notre portefeuille Midkine et de notre portefeuille anticancéreux plus large, composé de cinq programmes."

Cours actuel de l'action : 6,74 pence, en hausse de 5,7 % à Londres mardi

Variation sur 12 mois : en baisse de 16%.

Par Emma Curzon, journaliste à Alliance News

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