Pour réussir le « défi permanent d'être au service de plus de 400 millions de personnes dans le monde, nous cherchons toujours de nouvelles façons de connecter ces personnes, mais nous le faisons parfois de manière trop précipitée », a expliqué Mark Zuckerberg dans la tribune qui lui a été octroyée ce lundi par le Washington Post.

La justification visait à rassurer les utilisateurs du site créé il y a 6 ans, contre les attaques du Wall Street Journal. Le quotidien Américain affirmait que lorsqu'un utilisateur cliquait sur une publicité affichée sur Facebook, l'annonceur était en mesure de récupérer son nom.

Le support ne s'est d'ailleurs pas contenté de fustiger le comportement de Facebook ; il a mis en cause d'autres sites, tels que MySpace, Hi5, LiveJournal, Xanga ou Digg. « Nous ne vendons pas et ne vendrons jamais (les informations des utilisateurs) à quiconque » a assuré le patron de la firme de Palo Alto.

Mark Zuckerberg a même promis de nouveaux outils de contrôle qui devront permettre aux utilisateurs de « contrôler leurs informations plus simplement ». Nul doute que les millions de membres du leader incontesté du réseautage social suivront ces évolutions avec beaucoup d'intérêt.