« Nous continuons par ailleurs à privilégier les obligations non étatiques au sein de la poche obligataire, et plus particulièrement les obligations d'entreprise investment grade », écrit Skandia Global Funds dans une note. Selon le gestionnaire, la dégradation du niveau des finances publiques devrait continuer à profiter au secteur privé. Cette tendance pourrait permettre un nouveau resserrement des spreads sur les obligations corporate, estime Skandia.

Il rappelle qu'en dépit du fort resserrement des spreads de crédit enregistrés en 2009, ceux-ci demeurent à des niveaux historiquement élevés.