Les autorités locales ont indiqué que les capitoles des États du Connecticut, de la Géorgie, du Kentucky, du Michigan, du Mississippi et du Montana avaient fait l'objet de menaces. La police a ratissé les bâtiments et n'avait pas encore trouvé d'explosifs ou d'équipements suspects mercredi après-midi.
Le département de la sécurité publique du Mississippi a déclaré que la "menace avait été écartée". Le département de l'administration et des services généraux du Montana a déclaré que "la menace n'était pas crédible" et que le palais d'État avait été rouvert au public.
Le palais d'État du Connecticut a été brièvement fermé avant d'être rouvert après que la police a déterminé que la menace était un canular, a rapporté le Middletown Press.
Le gouverneur du Kentucky, Andy Beshear, a déclaré dans un communiqué que "tout le monde était en sécurité" et que le Capitole de l'État avait été évacué pendant que la police enquêtait.
"Nous sommes au courant de menaces similaires proférées à l'encontre d'autres bureaux à travers le pays", a-t-il ajouté. La police a déclaré que les gens pouvaient retourner au Capitole en toute sécurité, a indiqué le secrétaire d'État du Kentucky, Michael Adams.
Le journal Lexington Herald-Leader a indiqué qu'un courriel contenant une alerte à la bombe avait été envoyé à plusieurs secrétaires d'État, dont M. Adams.
La police de l'État du Michigan a déclaré que le palais de l'État à Lansing resterait fermé pour le reste de la journée par "excès de prudence" après qu'une alerte à la bombe ait été reçue par courrier électronique vers 7 h 45.
