Il a tenu une réunion virtuelle avec les dirigeants des États-Unis, de l'Italie, de la Pologne, de la Roumanie, de la France, de l'Allemagne, du Conseil européen, de la Commission européenne et de l'OTAN pour discuter de la situation.

"Il a souligné la nécessité pour les Alliés de l'OTAN de faire savoir très clairement qu'un lourd train de sanctions économiques sera prêt à être mis en œuvre, si la Russie prend la décision dévastatrice et destructrice d'envahir l'Ukraine", a déclaré son bureau.