Le mois dernier, le Kenya a déclaré qu'il exigerait une preuve de vaccination pour accéder aux espaces publics et aux transports à partir du 21 décembre. Cette mesure a été accueillie par https://www.reuters.com/world/africa/new-covid-19-vaccine-rule-catches-many-kenyans-by-surprise-2021-12-23 avec un mélange de perplexité, de rejet et d'application ponctuelle de la loi, compte tenu du faible taux de vaccination dans le pays. Vendredi, à peine plus de 14 % des adultes kenyans avaient été complètement vaccinés.

Un tribunal a depuis suspendu https://www.reuters.com/world/africa/court-halts-implementation-covid-vaccination-requirement-kenya-2021-12-14 la mesure relative à la preuve de vaccination, dans un contexte d'incertitude quant à l'identité de la personne chargée de l'appliquer et quant à l'attitude à adopter à l'égard des personnes incapables d'accéder aux vaccins.

Le pays d'Afrique de l'Est a confirmé https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/rwanda-confirms-six-infections-with-omicron-variant-2021-12-15 la présence de la variante Omicron du coronavirus dans le pays il y a près de deux semaines et a enregistré vendredi près de 33 % de cas positifs sur un peu plus de 9 000 tests COVID-19.

Le communiqué du ministère de vendredi indique également que le vaccin COVID-19 de Pfizer devrait être proposé aux enfants de plus de 15 ans.

Le Kenya utilise les vaccins AstraZeneca, Sinopharm, Moderna, Pfizer et Johnson & Johnson.