Pour démarrer l'année, nous vous proposons une série de graphiques pertinents sur le comportement d'un certain nombre d'indices en 2022. Il y en a pour tous les goûts : des actions, des matières premières diverses et variées, des ETF, des stratégies d'investissement, des disparités régionales, un papy et une papesse et même un produit obligataire, de l'or et du pétrole. En résumé, une année compliquée en graphiques.
Matières premières
L'énergie est restée la matière première la plus entourée en 2022, mais elle a progressivement perdu l'avance accumulée au 1er semestre. Le bétail la talonne. Les métaux industriels ferment la marche.
Secteurs
Le secteur énergétique, encore, a dominé la mêlée, comme en 2021. Les autres secteurs en territoire positif sont la santé, les utilités et les financières.
Régions
Au niveau régional, l'Amérique Latine, grâce notamment au marché brésilien, ressort gagnante en 2022. Les autres zones géographiques sont en baisse plus ou moins marquée.
Papy vs Cathie
Un de nos classiques : la gestion prudente de Berkshire Hathaway contre la gestion agressive d'Ark Innovation.
Value / Croissance Europe
En Europe, miser sur les valeurs décotées a mieux fonctionné que miser sur la croissance en 2022. Comme aux Etats-Unis.
Europe vs USA
Les indices européens ont mieux tenu que les indices américains l'année dernière
Pétrole, Or, Dollar
En 2022, les fluctuations du pétrole ont tendance à écraser les variations du dollar et de l'or. Mais il faut bien souligner que le renforcement du billet vert a été spectaculaire, avec sa consolidation de fin d'année.
ETF
Ce graphique chamarré compare des ETF parmi les plus négociés du monde (Actions US, Actions Mondiales, Actions Croissance, Obligations US, Marchés Emergents, Actions Value)
Taille
En 2022, les valeurs moyennes américaines ont fait mieux que les petites valeurs américaines, qui ont fait mieux que les grosses valeurs américaines.
CAC vs DAX
Le comparatif européen classique qui permet de rappeler que le DAX est un indice qui compte les dividendes alors que le CAC40 les détache. Pour une vision valable, il faut utiliser le CAC dividendes réinvestis et le DAX. A ce petit jeu, la France a largement surperformé.