La FINMA a indiqué qu'elle avait ordonné à la banque de procéder à un examen de toutes les relations d'affaires actuelles avec des personnes politiquement exposées et qu'elle empêcherait la banque d'établir des relations d'affaires avec ces personnes.
Selon l'autorité de surveillance, les transactions suspectes ont été effectuées entre 2002 et 2015 pour une valeur totale de 300 millions de dollars. Les fonds ont été transférés du Liban vers la Suisse et vice-versa.