Les conclusions montrent que ce sont les forces de sécurité israéliennes qui ont tiré les balles qui ont tué la journaliste américano-palestinienne Shireen Abu Akleh en mai, et non des tirs indiscriminés de la part des Palestiniens, a déclaré vendredi un porte-parole du bureau des droits de l'homme de l'ONU.
"Il est profondément troublant que les autorités israéliennes n'aient pas mené d'enquête criminelle", a déclaré Ravina Shamdasani lors d'un briefing à Genève.
Les responsables israéliens et palestiniens ont échangé des récriminations sur l'incident, qui a fait monter la tension. Israël a nié qu'un soldat israélien ait "ciblé un journaliste".
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