Banque Leonardo explique la correction actuelle sur les marchés actions par trois raisons : la taxe et le plan bancaires Obama, le relèvement du taux de réserves obligatoires en Chine et la dérive des déficits publics symbolisée par la Grèce. Mais pour François Chevallier, c'est le risque public qui est principalement en cause. Le stratège reste pourtant confiant dans la tendance haussière des actions grâce à la multiplication et à la généralisation des signes de reprise.

Il cite notamment les indices des Fed de New York et de Philadelphie qui visent un indice des directeurs d'achat dans le secteur manufacturier (ISM) autour de 54,5 en janvier. Cette statistique sera publiée le lundi 1er février.