(Alliance News) - Le FTSE 100 de Londres devrait ouvrir en hausse jeudi, en prévision d'une baisse attendue des taux de la Banque centrale européenne, tandis que les actions technologiques à New York ont connu une hausse fulgurante au cours de la nuit.
Les chiffres de l'inflation américaine pour le mois de novembre, bien que plus élevés que le mois précédent, ont renforcé les attentes d'une réduction des taux d'intérêt de la Réserve fédérale la semaine prochaine.
Les chiffres ont montré que le rythme de l'inflation des prix à la consommation aux États-Unis s'est accéléré pour atteindre 2,7 % en novembre, contre 2,6 % en octobre.
"Le rapport a manqué de surprises. Ce scénario a renforcé la perception que la politique monétaire pourrait continuer à se normaliser vers 2025, malgré les incertitudes potentielles liées à la nouvelle administration de Donald Trump, dont les propositions, telles que les tarifs douaniers, pourraient avoir un impact sur la dynamique de l'inflation", a commenté Quasar Elizundia, analyste chez Pepperstone.
"À l'avenir, les investisseurs porteront leur attention sur la réunion de la Fed la semaine prochaine, à la recherche d'indices sur la trajectoire de la politique monétaire pour 2025. Bien que la possibilité de nouvelles baisses de taux reste élevée, le président de la Fed, Jay Powell, a mis l'accent sur une approche relativement prudente."
Avant la décision de la Fed la semaine prochaine, la BCE devrait réduire ses taux jeudi après-midi.
Ipek Ozkardeskaya, analyste chez Swissquote, a commenté : "La BCE devrait procéder à une nouvelle baisse de 25 points de base lors de la réunion d'aujourd'hui. Certains s'attendaient à ce que la BCE fasse plus que cela. Depuis que Donald Trump a remporté l'élection présidentielle américaine, les risques accrus pesant sur les économies européennes en raison des menaces tarifaires ont amené certains investisseurs et analystes à parier sur une baisse de 50 points de base en réaction immédiate. D'autres, comme moi, pensent que la BCE ferait mieux de procéder à une baisse prudente de 25 points de base aujourd'hui ET de déplacer son attention de l'inflation vers la croissance, car cela ouvrirait la voie à une série de baisses de taux au lieu d'une baisse géante dont la zone n'a pas besoin dans l'urgence."
Voici ce que vous devez savoir à l'ouverture du marché londonien :
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MARCHÉS
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FTSE 100 : en hausse de 0,2% à 8 315,42
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Hang Seng : en hausse de 1,3 % à 20 424,48
Nikkei 225 : en hausse de 1,2% à 39 849,14
S&P/ASX 200 : en baisse de 0,3 % à 8 330,30
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DJIA : clôture en baisse de 99,27 points, 0,2%, à 44 148,56
S&P 500 : clôture en hausse de 0,8% à 6 084,19
Nasdaq Composite : clôture en hausse de 1,8% à 20 034,90
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EUR : en hausse à 1,0522 USD (1,0490 USD)
GBP : en hausse à 1,2777 USD (1,2746 USD)
USD : baisse à 152,44 JPY (152,49 JPY)
OR : en hausse à 2 719,37 USD l'once (2 716,47 USD)
(Brent) : en hausse à 73,67 USD le baril (73,05 USD)
(changements depuis la dernière clôture des marchés boursiers à Londres)
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ÉCONOMIE
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Les événements économiques clés de jeudi sont encore à venir :
13:15 GMT décision sur les taux d'intérêt de la zone euro
11:00 GMT IPC Irlande
13:30 GMT demandes initiales d'allocations chômage aux Etats-Unis
13:30 GMT PPI AMÉRICAIN
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Le Premier ministre Keir Starmer rencontrera le président du Conseil européen, Antonio Costa, afin de poursuivre ses efforts pour "réinitialiser" les relations entre le Royaume-Uni et l'UE. La rencontre entre le premier ministre et M. Costa intervient quelques jours après que la chancelière Rachel Reeves a rejoint les ministres européens des finances à Bruxelles. M. Starmer et M. Costa devraient se rencontrer à Downing Street jeudi après-midi pour discuter des espoirs du premier ministre d'établir une relation plus étroite avec l'UE après l'acrimonie des batailles du Brexit. Les détails du voyage de M. Costa à Londres ont été publiés sur le site web du Conseil européen. Lundi, Mme Reeves a déclaré à ses homologues de la zone euro qu'elle souhaitait "reconstruire les liens de confiance qui ont été rompus ces dernières années sous le gouvernement précédent et montrer à nos amis, voisins et alliés au sein de l'UE que nous voulons réinitialiser ces relations". Outre les relations post-Brexit, les discussions entre M. Starmer et M. Costa pourraient porter sur des questions plus générales, notamment la situation en Syrie.
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Le portail immobilier Rightmove a prédit que les prix de l'immobilier au Royaume-Uni allaient augmenter l'année prochaine, et que Londres allait connaître une année de croissance exceptionnelle grâce à la baisse des taux d'intérêt. Rightmove a déclaré que 2025 serait un "marché d'acheteurs" et a révélé cinq prédictions pour le marché immobilier de l'année prochaine. Selon le portail immobilier coté au FTSE 100, la moyenne nationale des prix demandés augmentera de 4 % en 2025 - la plus forte prévision de croissance des prix depuis 2021 - avec environ 1,15 million de transactions attendues. Cependant, le nombre moyen de logements disponibles par agence immobilière étant à son plus haut niveau depuis 10 ans, les acheteurs ont "souvent l'embarras du choix", ajoute le cabinet. Cela alimente sa prévision d'une forte concurrence pour les vendeurs, ce qui contribuera probablement à empêcher une plus forte croissance des prix, en notant que "2025 devrait être un marché d'acheteurs". Rightmove prévoit également que l'année prochaine marquera le début d'un tournant pour les prix de l'immobilier à Londres, qui, selon lui, sont à la traîne, les prix demandés dans la capitale ayant augmenté de 12 % par rapport à 21 % dans l'ensemble de la Grande-Bretagne par rapport à il y a cinq ans. Elle s'attend à ce que la croissance des prix à Londres soit égale ou légèrement supérieure à la croissance des prix au niveau national. Quatre réductions du taux de base en 2025 devraient entraîner une baisse des taux hypothécaires moyens à environ 4,0 % par rapport aux taux fixes actuels à cinq ans et à deux ans de 4,83 % et 5,08 % respectivement.
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La croissance des prix de l'immobilier au Royaume-Uni s'est accélérée, mais les taux hypothécaires pourraient freiner la reprise de l'activité du marché immobilier "d'ici peu", selon les enquêteurs. Selon la Royal Institution of Chartered Surveyors, 25 % des professionnels de l'immobilier ont déclaré que les prix des logements avaient augmenté en novembre, contre 16 % en octobre. Ces résultats marquent le quatrième mois consécutif de hausse des prix. Les professionnels s'attendent à ce que les prix de l'immobilier continuent d'augmenter au cours des trois et douze prochains mois, selon le rapport. Les demandes de renseignements des nouveaux acheteurs et les nouvelles instructions de vente ont également augmenté en novembre, bien que le volume des ventes conclues soit resté globalement inchangé, selon la Rics. Un solde net de 19% des professionnels prévoit une augmentation de l'activité de vente au cours des trois prochains mois. Cependant, les évaluations du marché en novembre étaient au même niveau qu'il y a un an, ce qui pourrait indiquer un ralentissement potentiel dans le pipeline des nouvelles inscriptions à l'horizon 2025, ajoute le rapport.
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CHANGEMENTS DANS L'ÉVALUATION DES COURTIERS
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UBS relève Diageo à "acheter" (vendre) - objectif de prix 2 920 (2 300) - pence
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Barclays relève Pennon à "surpondérer" (equal-weight) - objectif de cours 800 (690) - pence
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ENTREPRISES - FTSE 100
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London Stock Exchange Group a déclaré avoir conclu un accord pour vendre sa participation dans Euroclear. LSEG recevra 455 millions d'euros de la vente d'une participation de 4,9% dans le fournisseur de services de compensation et de règlement. La participation est vendue à TCorp, "le partenaire du gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud en matière de services financiers".
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ENTREPRISES - FTSE 250
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Currys a laissé ses prévisions annuelles inchangées, mais le détaillant de produits électriques a dénoncé les "vents contraires indésirables de la politique du gouvernement britannique". Currys a prédit que les mesures annoncées dans le budget du gouvernement britannique sont "susceptibles d'ajouter environ 32 millions de livres sterling de coût annuel à notre entreprise". "Nous nous efforcerons d'atténuer autant que possible ces coûts par des mesures d'économie, notamment l'amélioration des processus, l'automatisation, la délocalisation, l'externalisation et d'autres gains d'efficacité au niveau des frais généraux. Certaines augmentations de prix sont également inévitables. Nous vous tiendrons au courant de la situation en temps voulu", a ajouté l'entreprise. Currys a déclaré que ses performances commerciales "continuent de se renforcer, avec des bénéfices et des flux de trésorerie en nette augmentation". Sa perte avant impôt pour le semestre clos le 26 octobre a été ramenée de 44 millions de livres sterling à 10 millions de livres sterling. Le chiffre d'affaires a augmenté de 1,3 % pour atteindre 3,92 milliards de livres sterling, contre 3,87 milliards de livres sterling l'année précédente. Le directeur général, Alex Baldock, a déclaré : "Au Royaume-Uni et en Irlande, nous avons apporté d'importantes améliorations aux canaux de distribution en ligne et en magasin, les clients ont continué à utiliser davantage les solutions et les services qui leur sont utiles et qui le sont aussi pour nous, et des moteurs de croissance tels que B2B et iD Mobile ont enregistré de bons résultats. Tout cela s'est traduit par une augmentation des ventes, des parts de marché, des marges brutes et des bénéfices. Dans les pays nordiques, nous avons gagné des parts de marché, augmenté les marges brutes, contrôlé étroitement les coûts et augmenté les bénéfices dans un environnement de consommation toujours difficile". Currys s'attend toujours à une croissance des bénéfices et du flux de trésorerie disponible cette année, l'entreprise n'ayant pas modifié ses prévisions annuelles. M. Baldock a ajouté : "Et ce, malgré les nouveaux vents contraires et malvenus de la politique du gouvernement britannique. Ces mesures entraîneront une augmentation rapide et importante des coûts, freineront l'investissement et l'embauche, favoriseront l'automatisation et la délocalisation et rendront inévitables certaines hausses de prix. Néanmoins, nous pouvons contrôler beaucoup de choses, notamment atténuer une grande partie de ces vents contraires. Nous maintiendrons l'engagement de nos collègues à un niveau élevé, la satisfaction de nos clients à un niveau élevé, l'augmentation des flux de trésorerie pour les actionnaires et nous jouerons un rôle toujours plus important dans la société. La dynamique de Currys ne cesse de croître".
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SThree a prévenu que les conditions difficiles du marché devraient se poursuivre au cours de son nouvel exercice, mais la société de recrutement a annoncé un rachat d'actions de 20 millions de livres sterling. SThree, qui se concentre sur les domaines de la science, de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques, a déclaré que les honoraires nets avaient diminué de 12 % au cours de l'exercice clos le 30 novembre, passant de 418,8 millions de livres sterling à 369,1 millions de livres sterling. À taux de change constant, les honoraires nets ont baissé de 9 %. "Comme cela a été largement rapporté dans notre secteur, l'année dernière a été caractérisée par des conditions de marché difficiles et prolongées qui ont eu un impact sur l'activité des nouvelles entreprises", a déclaré Timo Lehne, PDG de l'entreprise. "C'est notre spécialisation en matière de STEM et de contrats, combinée à une gestion prudente des coûts, qui nous a permis d'obtenir des résultats solides, et l'exercice 24 devrait être conforme au consensus du marché. Le consensus du marché pour le bénéfice avant impôt est de 67,4 millions de livres sterling, ce qui représenterait une baisse de 13 % par rapport aux 77,9 millions de livres sterling réalisés au cours de l'exercice 2023. En ce qui concerne la nouvelle année, elle fait "l'hypothèse prudente" que les conditions de marché difficiles persisteront, ce qui nuira aux commissions nettes. Elle s'attend désormais à un bénéfice avant impôts de 25 millions de livres sterling pour l'exercice 2025, soit une baisse de plus de 60 % par rapport aux prévisions pour l'année qui vient de s'écouler. SThree a annoncé qu'elle prévoyait de lancer un nouveau rachat d'actions de 20 millions de livres sterling au cours des six prochains mois. "À la lumière de la génération de trésorerie et du bilan solide de SThree, le conseil d'administration considère qu'il est prudent de lancer le rachat, conformément à sa politique déclarée d'allocation de capital", a ajouté SThree.
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La société de boissons C&C Group a déclaré avoir nommé l'ancien patron du fabricant d'Irn-Bru, AG Barr, au poste de directeur général, avec effet le mois prochain. Roger White rejoindra C&C en tant que PDG à partir du 20 janvier. Ralph Findlay reprendra son poste de président non exécutif "après une courte période de transition" après l'arrivée de M. White. En juin, C&C a annoncé que Patrick McMahon quitterait son poste de directeur général pour assumer la responsabilité des erreurs comptables commises pendant son mandat de directeur financier. La société, qui est à l'origine de marques telles que Bulmers, a indiqué que M. White avait été PDG d'AG Barr de 2002 à mai 2024.
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TA Associates, actionnaire d'Auction Technology Group, vendra l'intégralité de sa participation dans la société. Par le biais de divers compartiments, TA vendra 15,3 millions d'actions de l'opérateur du marché des enchères à 5,50 livres sterling chacune, pour un montant de 84,4 millions de livres sterling. Ces actions représentent la totalité de la participation de TA dans Auction Technology, qui s'élève à près de 13 %. Auction Technology ne recevra aucun produit de la vente. En outre, Morgan Seigler, représentant de TA et directeur non exécutif, se retirera du conseil d'administration d'Auction Technology à la suite de la vente. Seigler, co-responsable du conseil EMEA Technology de TA, a rejoint le conseil d'Auction Tech lorsque la société a été acquise par TA en 2019. La vente devrait avoir lieu la semaine prochaine, vendredi. TA avait vendu une participation de 5 % dans Auction Technology en juin, pour un montant de 32 millions de livres sterling.
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AUTRES ENTREPRISES
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Parkmead Group, entreprise spécialisée dans les projets liés au gaz, au pétrole et aux énergies renouvelables, vendra ses licences pétrolières offshore britanniques et ses licences gazières onshore néerlandaises à Serica Energy pour un montant pouvant atteindre 134 millions de livres sterling. Serica, société pétrolière et gazière axée sur la mer du Nord, versera un montant initial de 5 millions de livres sterling, auquel s'ajouteront 9 millions de livres sterling de paiements différés échelonnés sur les trois prochaines années. En outre, des paiements conditionnels seront effectués en fonction des étapes de développement liées au projet Skerryvore et à la découverte de pétrole de Fynn Beauly. Compte tenu du paiement initial, de la somme différée et des contreparties éventuelles, l'opération pourrait valoir au total 134 millions de livres sterling. Parkmead vend sa filiale Parkmead (E&P), qui détient les licences pétrolières offshore britanniques et les licences gazières onshore néerlandaises. Parkmead (E&P) détient une participation de 50 % dans Skerryvore et de 50 % dans Fynn Beauly. Serica estime que l'accord "offre des options pour les projets futurs, simplifie la prise de décision et apporte une flexibilité stratégique" en ce qui concerne sa position dans Skerryvore. Elle sera l'opérateur de l'actif avec une participation de 70 % lorsque l'opération sera conclue. Elle détenait déjà une participation de 20 %.
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Parkmead Group "continuera à détenir tous ses autres actifs énergétiques". "Il s'agit notamment de son portefeuille de gisements de gaz terrestres générateurs de revenus aux Pays-Bas et, au Royaume-Uni, du parc éolien de Kempstone Hill qu'il exploite et de ses projets potentiels de développement de l'énergie solaire et éolienne à Pitreadie. La société a ajouté : "Parkmead a étudié attentivement les perspectives de ses licences pétrolières en mer du Nord britannique, ainsi que les besoins potentiels en capitaux nécessaires si ces licences devaient passer le cap de l'évaluation et du développement. Le secteur offshore est confronté à des défis constants sous la forme de l'environnement politique actuel à l'égard du pétrole et du gaz britanniques, et de l'accent mis par le gouvernement britannique sur sa stratégie "net zero". Dans ce contexte, Parkmead estime que l'opportunité de développer ces licences pétrolières en mer du Nord britannique serait mieux servie au sein du portefeuille d'une société plus importante, centrée sur la mer du Nord, ce qui permettrait à Parkmead d'appliquer son expertise et les ressources de la société à la croissance de ses actifs gaziers aux Pays-Bas et à ses projets dans le domaine des énergies renouvelables".
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Par Eric Cunha, rédacteur en chef d'Alliance News
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