Les velléités haussières du début d’année ont fait long feu au contact de la résistance des 23 EUR. Retour à la case départ, le titre ne négocie sur ses niveaux du début d’année.
 
Sur le premier trimestre, le groupe a dépassé les attentes. L’érosion du marché anglais, (son premier marché qui représente près de 40% de son activité) et la contreperformance en Espagne ont été compensés  par la France et l’Allemagne. Côté perspectives, le groupe a réitéré son objectif de croissance organique du chiffre d’affaires compris entre 3% et 4%.
 
Techniquement, la reprise orchestrée en début d’année a fait long feu. Après avoir échoué au dépassement des 23 EUR, le titre a pris le chemin inverse, s’est enfoncé sous ses moyennes à 20 et 50 semaines et retrouve les 19,5 EUR, le dernier retracement de la hausse de décembre/février et un support de 2010.
Le titre se stabilise à son contact, tandis qu’une divergence se dessine sur les indicateurs quotidiens.
Techniquement, le titre présente quelques atouts à un scénario de rattrapage qui viendrait conclure six semaines de baisse consécutives. Un dépassement des 20 EUR conforterait cette perspective et nourrirait l’espoir d’un rebond vers 21 et 22 EUR.