La décision, saluée des deux côtés de l’Atlantique, intervient après des semaines d’incertitude. Le projet avait été stoppé par le Département de l’Intérieur, invoquant un manque d’analyse environnementale lors de son approbation sous Biden. Un rapport interne avait soulevé des risques pour la faune marine.
Mais entre la pression diplomatique norvégienne et l’activisme de la gouverneure Hochul, le feu vert a finalement été redonné. Equinor, qui brûlait 50 millions de dollars par semaine pendant l’interruption, peut enfin reprendre ses travaux.
Trump reste opposé à l’éolien, mais l’importance économique du chantier a fini par l’emporter. Pour les industriels, c’est une victoire : l’éolien offshore a encore sa place dans l’arsenal énergétique américain, même sous un président hostile à cette filière.