On en parle cette semaine
Le papier indices de la semaine est consacré aux marchés qui venaient du froid : Scandinavie, Islande et pays baltes !
On a refait les comptes sur les meilleurs et les pires indices boursiers de novembre, ça se passe par ici avec Emilie.
Est-ce qu'Alstom va remplacer Teleperformance dans le CAC40 ? Fin du suspense la semaine prochaine, toujours sous la plume d'Emilie.
Tommy nous a préparé un concentré de prospective pour les actions européennes l'année prochaine.
Odile nous fait un point sur les propriétaires de la colossale dette publique américaine.
Notre petit dernier, Estéban, a été contraint de pousser pas mal de papiers cette semaine, bizutage oblige. Il a pu écrire sur l'une de ses passions, le jeu vidéo, mais aussi sur la drôle de fiscalité italienne et le texte du dessin de la semaine, consacré à Donald Trump et aux BRICS.
La rubrique ETF s'est enrichie d'un bilan 2024 concocté par Adrien, qui s'est aussi frotté à l'épineuse et séculaire question de l'intérêt des sociétés à dividendes.
L'interview de la semaine concerne 2CRSi, l'une des rares sociétés françaises exposées au boom du hardware IA.
La vidéo de la semaine de Xavier Delmas : Nvidia est-elle une bulle à elle toute seule ?
Voici les actions qui ont été couvertes un peu plus en détail par l'équipe cette semaine :
- Vivendi va faire voter ses actionnaires sur la scission du groupe le 9 décembre. Voici une mise en perspective.
- A la découverte d'une entreprise bulgare qui opère dans les produits connectés, Shelly.
- Quelques mots sur le possible successeur de Tavares chez Stellantis, qui pourrait être une bonne pioche.
- Connaissez-vous Fast Retailing, la maison-mère d'Uniqlo ?
- Autres découvertes ou redécouvertes, un mini-Constellation Software, Computer Modelling, un autre compatriote canadien plus connu, Descartes Systems, mais aussi la filiale mexicaine de Walmart et un point sur Fortum.
- Enfin, une présentation de Chewy, la société américaine qui a du chien.
Et toujours…
🤸♂️ Les produits dérivés de Laurent Polsinelli, qui a souffert face à ce CAC40 qui n'arrête pas de monter.
🤑 Yves Sanquer nous parle de la France éternelle et de l'euro, et du Bund éternel.
📰 La revue de presse de la semaine : le paradoxe de l'IA et du gouffre financier et les premiers best of.
₿ Des nouvelles de l'univers crypto : après l'IA, Microsoft pourrait s'intéresser au bitcoin et un point sur le retour de la vengeance du comeback de l'ethereum.
Les cinq infos de la semaine (pour les gens pressés)
🚀 Le bitcoin dépasse les 100 000 USD
Le bitcoin fait sensation cette semaine, franchissant la barre symbolique des 100 000 USD mercredi. Cette hausse fulgurante est liée à la possible nomination par Donald Trump de Paul Atkins, un avocat pro-cryptomonnaies et favorable à la dérégulation, à la tête de la SEC, le régulateur financier des États-Unis.
💯 Trump s'attaque aux BRICS
Après le Canada, le Mexique et la Chine, Donald Trump cible les BRICS. Il critique leur volonté de s'émanciper du dollar et exige qu’ils renoncent à créer une monnaie concurrente, sous peine de droits de douane à 100% et d'une exclusion totale du marché américain.
🚗 Stellantis recrute chez Apple ?
John Elkann, président de Stellantis, aurait désigné Luca Maestri, directeur financier d’Apple, pour succéder à Carlos Tavares. Ce dernier a été "démisionné" après des désaccords stratégiques avec le conseil d’administration. Maestri pourrait prendre la tête du constructeur début 2025, selon le Corriere della Sera.
🗼 Crise politique en France
Michel Barnier, Premier ministre français, a engagé la responsabilité de son gouvernement sur le budget 2025, faute de majorité parlementaire. L’alliance des oppositions l’a censuré, le contraignant à la démission. Cinq mois après la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, la crise politique atteint un nouveau sommet.
⚖️ Loi martiale en Corée du Sud
Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a déclenché une tempête politique en proclamant unilatéralement la loi martiale, invoquant une menace imminente de la Corée du Nord. Face à une levée de boucliers des parlementaires et de l’opposition, il a finalement fait marche arrière.