Les exportations nettes ont apporté une contribution positive, tandis les dépenses des ménages ont stagné, et les investissements et les stocks reculé.

La troisième économie de la zone euro a connu 13 trimestres consécutifs sans croissance, mettant la pression sur le président du Conseil italien, Matteo Renzi, qui est arrivé au pouvoir en février en promettant de relancer la croissance et de créer des emplois.

L'Istat dit prévoir une probable stagnation au quatrième trimestre, conduisant à une contraction globale de 0,3% en 2014. Au deuxième trimestre, la croissance était en baisse de 2% (chiffre confirmé) comparé au trimestre précédent, et en recul de 0,4% (chiffre révisé, -0,3% en précédente estimation) par rapport à la même période en 2013.

(Steve Scherer, Claude Chendjou pour le service français, édité par Véronique Tison)