"L'année dernière, nous pouvions dire qu'il était clair que nous devions ramener les taux à des niveaux plus normaux, et maintenant nous disons que nous devons les amener en territoire restrictif", a déclaré M. Lane lors d'une interview.

M. Lane a ajouté que les taux sont désormais neutres, c'est-à-dire qu'ils ne stimulent ni ne freinent la croissance, et que le pic dépendra de la manière dont l'économie réagira aux hausses qui ont déjà atteint 2,5 points de pourcentage depuis juillet, selon le journal qui l'a cité mardi.