La compagnie aérienne n'a pas précisé quel était le facteur qui avait motivé sa décision, disant simplement qu'Airbus, filiale d'EADS, lui avait demandé de procéder à une série de contrôles sur les A300 après que Kuwait Airways avait "transmis des notes" à l'avionneur.

"Ceci s'est traduit par le retard de certains vols", a précisé Adel Broslay, porte-parole de la compagnie.

Ahmed Hagagy, Benoit Van Overstraeten pour le service français, édité par Dominique Rodriguez